Daniel Kawka est chef d'orchestre. Il a fondé l'Ensemble Orchestral Contemporain et est invité par de nombreux grands orchestres européens.
Quel a été votre parcours ?
Il a été pour le moins non conventionnel. J'ai suivi une formation de guitariste classique et électrique au cours de laquelle j'ai reçu deux chocs : Jimmy Hendrix ainsi que Ravel et Wagner. Wagner pour la corrélation avec la musique d'expérience ; Ravel pour la beauté du son et les jeux sur la transparence. Ce sont deux mondes qui cohabitent dans mon univers.
Ensuite, j'ai étudié à l'université et au conservatoire, en analyse, direction d'orchestre, harmonie. Je ressentais une véritable boulimie, avec l'envie d'aller vers le musical.
A 22 ans, j'ai assisté à Parsifal de Wagner à Orange, et c'est à ce moment-là que je me suis dis que je ferai ce métier.
Qui est à l'origine de votre participation au Festival Berlioz ?
Il y a deux ans, j'ai été invité par l'équipe du Festival pour un programme autour de l'amour tragique : , Roméo & Juliette de Prokofiev (suite), Don Juan de Strauss, Prélude et mort d'Isolde de Wagner et surtout la Scène d'Amour, extraite de Roméo & Juliette de Berlioz. Cette année, nous nous sommes retrouvés autour d'un projet commun : donner l'intégralité de la symphonie dramatique de Berlioz.
Pour l'occasion, j'ai de nouveau convié avec l'Orchestre de la RAI. Depuis 2006, nous avons présenté six programmes et réalisé deux enregistrements. Les musiciens sont généreux, le son est direct. C'est un plaisir de les retrouver ici.
Quels sont vos projets pour la saison à venir ?
Avec l'Ensemble Orchestral Contemporain, de nombreuses créations sont au programme. Je suis également invité par l'Opéra de Rome pour Tannhaüser de Wagner. Et pour finir une grande tournée en Russie, à Moscou et Saint-Petersbourg notamment, au printemps 2010 avec des orchestres symphoniques russes.
Interview réalisée le 24 août dans le cadre du Festival Berlioz
Photo : avec l'aimable autorisation de Daniel Kawka
Quel a été votre parcours ?
Il a été pour le moins non conventionnel. J'ai suivi une formation de guitariste classique et électrique au cours de laquelle j'ai reçu deux chocs : Jimmy Hendrix ainsi que Ravel et Wagner. Wagner pour la corrélation avec la musique d'expérience ; Ravel pour la beauté du son et les jeux sur la transparence. Ce sont deux mondes qui cohabitent dans mon univers.
Ensuite, j'ai étudié à l'université et au conservatoire, en analyse, direction d'orchestre, harmonie. Je ressentais une véritable boulimie, avec l'envie d'aller vers le musical.
A 22 ans, j'ai assisté à Parsifal de Wagner à Orange, et c'est à ce moment-là que je me suis dis que je ferai ce métier.
Qui est à l'origine de votre participation au Festival Berlioz ?
Il y a deux ans, j'ai été invité par l'équipe du Festival pour un programme autour de l'amour tragique : , Roméo & Juliette de Prokofiev (suite), Don Juan de Strauss, Prélude et mort d'Isolde de Wagner et surtout la Scène d'Amour, extraite de Roméo & Juliette de Berlioz. Cette année, nous nous sommes retrouvés autour d'un projet commun : donner l'intégralité de la symphonie dramatique de Berlioz.
Pour l'occasion, j'ai de nouveau convié avec l'Orchestre de la RAI. Depuis 2006, nous avons présenté six programmes et réalisé deux enregistrements. Les musiciens sont généreux, le son est direct. C'est un plaisir de les retrouver ici.
Quels sont vos projets pour la saison à venir ?
Avec l'Ensemble Orchestral Contemporain, de nombreuses créations sont au programme. Je suis également invité par l'Opéra de Rome pour Tannhaüser de Wagner. Et pour finir une grande tournée en Russie, à Moscou et Saint-Petersbourg notamment, au printemps 2010 avec des orchestres symphoniques russes.
Interview réalisée le 24 août dans le cadre du Festival Berlioz
Photo : avec l'aimable autorisation de Daniel Kawka