
Brigitte Desnoues est une chanteuse lyrique lyonnaise. Elle encadre les ateliers de chant et d’art lyrique à l’Institut de musique sacrée de Lyon.
Quel est votre parcours ?
J’ai étudié au Conservatoire supérieur de Genève, puis à l’atelier lyrique de l’Opéra de Lyon, une grande école d’opéra !
J’ai été soliste à l’Opéra de Lyon pendant trois ans, avant de commencer une carrière de chanteuse lyrique que je poursuis aujourd’hui.
J’ai eu la chance et l’opportunité de travailler avec de très grands maîtres, notamment Isabel Garcisanz, avec qui je suis toujours en contact. Nous travaillons encore beaucoup en synergie et je lui rends visite chaque fois que possible.
Pour quelles raisons avez-vous choisi d’enseigner ?
Il y a un moment où il faut redistribuer ce que l’on sait. Et j’ai constaté que l’enseignement du chant en France n’est pas toujours génial. Certains professeurs ne sont pas très consciencieux…
De mon côté, j’ai effectué beaucoup de recherches en technique vocale, c’est un sujet très intéressant. Et j’ai eu envie de transmettre aux autres ce que j’avais appris.
Un petit mot sur les ateliers que vous encadrez
Ces deux ateliers accueillent une quinzaine d’élèves de tout niveau. Même si en art lyrique, il faut quand même un certain niveau vocal si on veut être à l’aise et pouvoir passer au jeu et à la mise en scène.
C’est un travail qui demande beaucoup de patience et de pédagogie, ainsi que de l’enthousiasme et de la bonne volonté. Et ce, des deux côtés ! Le concert de fin d’année apporte la motivation supplémentaire, nécessaire pour proposer une prestation de qualité. Et cette qualité, elle se mesure aussi à l’importance des projets. Il est important d’être positif et de voir les choses en grand.
Quel est votre parcours ?
J’ai étudié au Conservatoire supérieur de Genève, puis à l’atelier lyrique de l’Opéra de Lyon, une grande école d’opéra !
J’ai été soliste à l’Opéra de Lyon pendant trois ans, avant de commencer une carrière de chanteuse lyrique que je poursuis aujourd’hui.
J’ai eu la chance et l’opportunité de travailler avec de très grands maîtres, notamment Isabel Garcisanz, avec qui je suis toujours en contact. Nous travaillons encore beaucoup en synergie et je lui rends visite chaque fois que possible.
Pour quelles raisons avez-vous choisi d’enseigner ?
Il y a un moment où il faut redistribuer ce que l’on sait. Et j’ai constaté que l’enseignement du chant en France n’est pas toujours génial. Certains professeurs ne sont pas très consciencieux…
De mon côté, j’ai effectué beaucoup de recherches en technique vocale, c’est un sujet très intéressant. Et j’ai eu envie de transmettre aux autres ce que j’avais appris.
Un petit mot sur les ateliers que vous encadrez
Ces deux ateliers accueillent une quinzaine d’élèves de tout niveau. Même si en art lyrique, il faut quand même un certain niveau vocal si on veut être à l’aise et pouvoir passer au jeu et à la mise en scène.
C’est un travail qui demande beaucoup de patience et de pédagogie, ainsi que de l’enthousiasme et de la bonne volonté. Et ce, des deux côtés ! Le concert de fin d’année apporte la motivation supplémentaire, nécessaire pour proposer une prestation de qualité. Et cette qualité, elle se mesure aussi à l’importance des projets. Il est important d’être positif et de voir les choses en grand.
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